Practicies : un projet européen de prévention de la radicalisation
Depuis 2017, Maks travaille à une méthodologie pour utiliser les récits de vie digitaux dans le cadre de la prévention de la radicalisation chez les jeunes, dans le cadre d’Horizon 2000, dirigé par l’université de Toulouse.
Après plusieurs projets pilotes, et sur invitation de la ville de Nice, un facilitateur de Maks s’y est rendu pour diffuser la méthodologie du récit digital et l’expérimenter avec des jeunes de deux centres sociaux dans des quartiers difficiles. Travailler sur l’identité est le thème central des ateliers.
Le travail autour de l’identité est le thème central de ces ateliers. Notre intervention à Nice est l’occasion de promouvoir la narration numérique, de familiariser les professionnels de terrain avec cette forme de travail, afin qu’ils puissent ensuite la partager avec d’autres acteurs de terrain.
Nous avons également expérimenté avec des jeunes dans la pratique afin que les travailleurs puissent se faire une idée concrète des résultats et des avantages de l’outil. Chaque jeune a la possibilité d’exprimer son identité grâce à cette méthodologie. Les histoires numériques permettent aux participants de réfléchir et de s’exprimer.
Concrètement
Au total, 17 jeunes de 11 à 16 ans ont participé à l’expérience et l’ont trouvée très intéressante. Ils y ont pris part activement et avec enthousiasme. Certains ont pu remettre en question une image négative d’eux-mêmes et retrouver leur estime de soi. Malgré divers obstacles liés à la pandémie, cinq vidéos ont finalement pu être totalement terminées ; chacun a pu faire son récit et les travailleurs sociaux ont découvert un outil utilisable dans d’autres circonstances.
Le travail autour de l’identité est le thème central de ces ateliers. Notre intervention à Nice est l’occasion de promouvoir la narration numérique, de familiariser les professionnels de terrain avec cette forme de travail, afin qu’ils puissent ensuite la partager avec d’autres acteurs de terrain.
Nous avons également expérimenté avec des jeunes dans la pratique afin que les travailleurs puissent se faire une idée concrète des résultats et des avantages de l’outil. Chaque jeune a la possibilité d’exprimer son identité grâce à cette méthodologie. Les histoires numériques permettent aux participants de réfléchir et de s’exprimer.
Concrètement
Au total, 17 jeunes de 11 à 16 ans ont participé à l’expérience et l’ont trouvée très intéressante. Ils y ont pris part activement et avec enthousiasme. Certains ont pu remettre en question une image négative d’eux-mêmes et retrouver leur estime de soi. Malgré divers obstacles liés à la pandémie, cinq vidéos ont finalement pu être totalement terminées ; chacun a pu faire son récit et les travailleurs sociaux ont découvert un outil utilisable dans d’autres circonstances.